Selon un sondage Ifop, qui révèle notamment à quel point les femmes victimes ne partagent avec personne l’horreur qu’elles vivent, pour environ 40 % d’entre elles, les actes violents ont commencé à partir de mars 2020 ou peu après
À partir d’un échantillon de 12 139 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, une enquête a été menée auprès de 375 femmes déclarant avoir été victimes de violences conjugales. Parmi celles qui disent s’être confiées sur leur vécu, 51 % se sont adressées à un proche, 21 % à un médecin. Seules 15 % ont déposé plainte ou signalé les violences aux autorités, et 14 % ont contacté une association
Pour accompagner les victimes, une plateforme téléphonique est en place :
Une plateforme d'écoute pour aider les auteurs de violences conjugales qui sont souvent conscients de leurs actes existe également :
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